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June Matthews
Éleveur
June Matthews
Sam 2 Nov - 12:06


June Matthews

- Nom complet : Matthews
- Prénoms : June
- âge : 29 ans
- nationalité : Américaine
- métier : Eleveuse
- situation amoureuse : Célibataire - Veuve
- sexualité : Hétérosexuel
- avatar : Taylor Swift

- Pseudo : J’en ai pas
- Où avez vous connu le forum : Ahah
- Fréquence de connexion : Régulière (si ce n’est quotidienne)
- Suggestions :


Histoire


June est née le 25 Octobre 1990 en banlieue de New-York dans l’état américain du New-Jersey. Elle est la fille d’un militaire et d’une femme au foyer et la plus jeune d’une fratrie de deux enfants. Malgré les absences répétées de son père en raison de son métier, la jeune femme a grandi dans une famille aimante et elle n’a jamais manqué de rien.  

Brillante élève de l’école primaire jusqu’au lycée c’est sans surprise qu’elle intégra la prestigieuse université d’Harvard où elle apprit les secrets de la finance dans le but de devenir analyste financière, métier dont elle rêve depuis longtemps. Le rêve est devenu réalité, sortie diplômer de Harvard et qui plus est, major de sa promotion la jeune femme est retourné sur New-York où elle à rapidement trouvé un emploi pour de grandes sociétés qui l’amena donc à travailler à Wall Street, la célèbre bourse de New-York.

Durant ses années lycées, elle fit la rencontre d’un jeune homme, charmant, dont elle s’éprit rapidement. Un militaire lui aussi, autant dire qu’il fut rapidement intégré dans la famille de la jeune femme, fort apprécié par le père et le frère de cette dernière, satisfaits de voir leur fille en compagnie d’un homme qui risquait sa vie pour protéger leur si beau pays. Au retour de ses études, elle ne tarda pas à épouser celui qui, selon elle, était sans aucun doute l’homme de sa vie.

Peu de temps avant la cérémonie du mariage, un drame vint noircir le tableau, le père de June décéda. Mort au combat. Mort en héro comme ils disaient. Grâce au soutien de ces proches, la jeune femme surmonta cette épreuve. Son père était un héros de la Nation, elle avait de quoi être fière.
Le jour du mariage fut un peu spécial. Son père lui manquait énormément, comme à beaucoup de personne dans l’assemblée et son frère n’était pas là. Il avait été appelé sur le front. Malgré les tristes évènements, la cérémonie fut grandiose et pleine d’émotions. June avait alors l’impression qu’elle avait la vie devant elle. Mariée à un homme qu’elle aimait éperdument et embauchée en tant qu’analyste financière pour le compte d’une grande multinationale. Tout semblait lui sourire malgré les quelques épisodes tristes qu’elle avait dû surmonter.

Et puis après quelques mois sans nouvelles de son frère, elle apprit le décès de ce dernier des suites des blessures qu’il avait subi lors d’un affrontement. La guerre venait de lui prendre encore un être cher. Malgré tout le soutient dont elle bénéficia, elle eut d’avantage de mal à se remettre de cette perte que de la précédente. Sans compter que son tendre mari ne tarda pas à être appelé pour une opération de longue durée.

A partir de ce moment, June a vécu chaque jour de sa vie dans la crainte d’apprendre encore une mauvaise nouvelle. Elle continuait à travailler dur, encore plus dur qu’avant. Travailler l’aidait à ne pas penser trop à ce qui pouvait arriver à l’homme qu’elle aimait. Elle s’épuisait au travail jour et nuit mais cela n’empêcha pas ce qui devait arriver.

Un jour d’automne, peu avant la fête de Thanksgiving, June était heureuse, souriante. Son époux devait rentrer aux pays dans quelques jours. Elle avait hâte de le revoir, de le serrer dans ses bras. Il lui manquait tellement. Et elle avait une bonne nouvelle à lui annoncer, ils allaient bientôt devenir une véritable famille puisqu’elle était enceinte de quelques mois.


Mais, tout ne se passa pas comme prévu, le téléphone sonna cet après-midi-là. Le camp de l’armée américaine avait été bombardé et les morts étaient nombreux. Son mari faisait partit des victimes. Elle était à présent veuve de guerre elle aussi, comme sa mère avant.
L’Amérique venait encore de lui arracher un être qu’elle aimait de tout son cœur. S’en était trop cette fois.

Le corps de son défunt mari fut rapatrié au pays, du moins ce qu’il en restait. Il eut un enterrement digne de ce nom. Une cérémonie militaire comme le père et le frère de June en avait eu. Elle reçut les condoléances respectueuses de nombreux officiers de l’Etat-major mais elle n’en avait que faire, elle ne les entendait plus. C’était la troisième fois. S’en était trop. Lui aussi était mort en héros et elle n’en pouvait plus d’entendre cette phrase. Elle lui avait remonté le moral à la mort de son père mais maintenant elle n’avait plus aucun effet sur elle. A quoi bon mourir en héros ?! Elle plongea dans une peine qui lui semblait sans issue et comme on dit : il suffit d’une mauvaise journée pour faire basculer une personne du mauvais côté.

Pour pallier à son chagrin June se noya dans le travail. Elle ne rentrait presque plus chez elle parce qu’elle ne voulait pas affronter la terrible réalité alors elle travaillait sans relâche. Le surmenage qu’elle se faisait volontairement subir cumulé au choc qu’elle avait eut en apprenant la parte de son mari, lui firent faire une fausse couche tardive et elle perdit la dernière chose qui la rattachait à celui qu’elle aimait et à la vie…

Lors d’une journée de travail normale après les fêtes de fin d’années, l’un des travers avec lequel elle avait l’habitude de travailler lui fit une remarque peu agréable, lui reprochant diverses choses. D’habitude elle était calme, compréhensive et acceptait la critique. Cette fois ce ne fut pas le cas. La fatigue aidant elle se mit à hurler, à pleurer, à lancer tout ce qu’elle trouvait sur le malheureux. Qui était-il pour juger de son travail ainsi ?! Personne ne compris réellement ce qu’il s’était passé ce jour-là mais le fait est que pour calmer sa crise de nerf, elle fut conduite à l’hôpital où il fut nécessaire de lui administrer des calmants le temps de faire passer la crise.

Le diagnostic tomba assez rapidement dans les jours suivants son hospitalisation. Elle était victime de ce que l’on appelle un syndrome de stress post-traumatique avec des réflexes d’évitements. Suite à un entretient avec un psychiatre, il fut pris la décision de la faire interner dans une clinique psychiatrique. Maintenant elle allait être soigné et cela commençait par du repos et des antidépresseurs, d’anti-psychotiques et de médicaments en tout genre, beaucoup de médicaments.

Dans cette clinique June se reposait, elle bénéficiait de toutes les attentions nécessaires. Elle avait des gens à qui parler et personne pour la mettre en colère ou la blesser. Mais elle avait l’impression d’être une folle. On lui administrait tellement de cachets qu’elle avait l’impression d’être gravement atteinte et puis on lui demandait de parler encore et encore de ce qu’il avait amené ici. Elle se demandait chaque jour comment une jeune femme comme elle, si brillante, avait pu en arriver à un tel point ? C’était une triste réalité, bien difficile à accepter et à surmonter.

Ce fut pendant son séjour à la clinique que la jeune femme découvrit les chevaux. En effet, l’établissement emmenait parfois certains patients dans un centre équestre voisins pour des séances d’équi-thérapie. Parait-il que cette méthode donnait de bon résultat sur certains patients.
Avant cela June n’avait jamais vu de chevaux autres que ceux qui se promenaient dans Central Parc. Elle avait toujours aimé les animaux, beaucoup admiré les chevaux mais elle n’en avait jamais approché de si près.

Les sorties au centre équestre lui furent bénéfique car elle retrouva progressivement le sourire. Chaque semaine elle avait hâte de retrouver les chevaux. Pendant la thérapie les patients apprenaient essentiellement à s’occuper des chevaux, ils passaient beaucoup de temps avec les équidés, cela les apaisaient. Parfois ils avaient le droit de monter pour partir faire une petite ballade après avoir appris quelques bases élémentaires. June profitait pleinement de ces moments, elle se sentait libre, l’air de la campagne américaine lui faisait du bien et il était, pour l’instant inenvisageable pour elle de retourner à New-York.

Après 1 an et 2 mois passés à la clinique, la direction pris une décision pour elle. Elle irait suivre une réhabilitation dans une écurie lointaine. Après entretient avec la direction il avait été trouvé un accord pour permettre à June d’aller poursuivre sa thérapie la-bas. De plus, l’école étant très fréquentée, en tout cas plus que la clinique, cela permettrait de réhabiliter la jeune femme à la vie en société qu’elle avait quitté depuis des mois.

Dans les écuries où elle poursuivait sa thérapie, June rencontra bien vite un cavalier qu’elle pris pour modèle : Adriàan. C’est au néerlandais qu’elle doit toit ce qu’elle sait des chevaux et ses excellentes bases au niveau équestre. Tous les deux ont finis par se lier d’amitié, ce qui pouvait sembler improbable au départ connaissant le caractère tranchant du grand blond. Après des années de travail elle s’est d’ailleurs associée avec ce dernier au sein de son élevage où elle commence tout juste à développer une branche de KWPN orientés vers le saut d’obstacles. C’est donc tout à fait logiquement qu’elle a suivi Adriàan lors de son départ pour RFL.

Au niveau professionnel la jeune femme se remet donc doucement dans la vie active. Par contre elle a encore du mal à gérer ses émotions et les relations humaines même si elle progresse de jour en jour et arrive maintenant à se lier avec les autres.


Caractère


Avant d’entrer à la clinique June était souvent définie comme une jeune femme dynamique, brillante et réfléchie. Gentille la jeune femme était appréciée de la majorité des personnes qu’elle rencontrait. Elle faisait partie de ces filles souriante, joviale, naturelle et enjouée qui sont grandement appréciées. C’était une amie précieuse parce que très à l’écoute, compréhensive, avec un don pour remonter et soutenir les personnes qui en avait besoin. Depuis son passage à la clinique les choses ont évoluées et elle est passée par différents stades. Elle a fait des progrès mais elle ne redeviendra certainement jamais vraiment celle qu’elle était et apprend encore à se connaître.

June a tendance à apprécier la solitude parce qu’elle lui permet de rester dans sa bulle et de ne pas trop se confronter avec le monde extérieur et risquer de se retrouver face à des sentiments qu’elle veut à tout prix éviter.

Hyper-sensible et hyper-émotive, elle peut parfois avoir des réactions disproportionnées à des évènements en apparence banals si ceux ci font remonter en elle des choses douloureuses. Malgré ses progrès elle est encore assez instable psychologiquement ce qui fait qu’elle peut parfois être une énigme pour ces interlocuteurs. Elle peut passer du rire aux larmes en une fraction de seconde lorsqu’elle se laisse envahir par ses émotions et malgré beaucoup de travail sur elle-même, elle ne parvient toujours pas à gérer complètement ce trait de caractère.

Malgré sa fragilité elle arrive parfois à trouver des sources de motivation et lorsque c’est le cas elle retrouve alors le courage et l’ambition d’autre fois, jusqu’à ce qu’un obstacle survienne et ne la décourage. Lorsqu’elle se prend de passion pour quelque chose, comme ça a été le cas avec les chevaux, elle peut devenir un vrai moulin à paroles posant sans arrêt des questions.

June Matthews
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